22/11/2014
Entendues, volées, petites phrases...
Il n'y a pas de limites à la souffrance humaine, individuelle ou collective.
C'est dans l'extrême que l'on comprend ce qu'est l'être humain.
16:59 Publié dans Chronique sans faits divers | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer