Matin (12/11/2012)

Se réveiller devant un paysage gris de brume. Les squelettes des arbres émergent à peine. Silence total. On hésite à allumer la radio. Ne pas troubler cette atmosphère de coton, qui disparaîtra avec le soleil, dans une heure ou deux. Il sera temps alors de renouer avec les bruits du monde. Rien de ne presse.

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