08/05/2013
Jardin
Le joli mois de mai est celui des efforts et fatigues du jardinier. Le temps presse. Là où le regard se pose, il y a quelque chose à faire. Hier, j'ai repiqué un plant de tanaisie, un seringa, des gauras, des spirées; j'ai retrouvé la pousse minuscule d'un prunier, celles des aubépines, des cotoneasters presque mangés d'herbes folles. J'ai désherbé entre les buis, qui font une poussée presque spectaculaire. Le potager prend doucement forme. Le carré des aromatiques incite à cuisiner parfumé. Un jardin est comme un rêve, qui salit les mains mais purifie l'esprit.
07:42 Publié dans Chronique sans faits divers | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
Les commentaires sont fermés.