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31/01/2016

Les volailles et le cinéaste

La volaillère du marché du vendredi matin est affable, souriante et très bavarde. Pendant que j'attends mon tour, la volaillère s'est lancée dans une grande conversation avec une cliente sur... Tarantino. Sa filmographie vole dans le vent glacé, échange de points de vue, on aime, on n'aime pas, ses acteurs... Je regarde l'étalage très soigné, en préparant mentalement ma liste de courses. Madame P. ne cesse de m'étonner : il y a quelques mois, elle a passé le permis moto, et n'en a parlé qu'après l'avoir réussi. "Vous comprenez, j'ai 50 ans, les enfants n'ont plus besoin de moi, mon mari n'aime pas bouger, alors, hop !, je vais pouvoir partir me promener, seule, libre". Finalement, ce n'est pas étonnant qu'elle soit fan de Tarantino. Il n'y a pas que l'élevage des volailles dans la vie. En aurais-je douté ?

30/01/2016

Fleurs d'hiver

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28/01/2016

Entendues, volées, petites phrases...

Agir en conscience et volonté, et non simplement pour satisfaire les besoins élémentaires.

Il faut commencer sa journée avec un projet : que vais-je faire aujourd'hui ?

25/01/2016

Quiétude ?

Après quelques jours d'absence, retrouver les gestes simples du matin. Préparer le thé, le pain à griller, sortir le beurre (ou autre denrée), allumer le poêle, regarder le soleil se lever. La légère couche de givre sur la voiture disparaît déjà. La ronde des mésanges reprend avec la lumière étincelante de ce matin encore plein d'espoirs. Mais ne pas oublier cette observation de Parrot (dans l'Inconnu du Pont Notre Dame, p. 322) :" Il soupira : il fallait charger la journée. Que lui réserverait-elle encore ?". Oui, la charge du jour arrive, au pas de course. Impossible à éviter, malgré le faux espoir généré par la quiétude du matin.