25/07/2013
Petite philosophie de rien...
Quoi de plus triste qu'un jardinier pleurant parce qu'il n'a pas la main verte ? Pendant ce temps, les pigeons obsessionnels s'agitent dans le saule, et le loriot chante, invisible.
09:17 Publié dans Chronique sans faits divers | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
Les commentaires sont fermés.