09/12/2015
Un jour...
Un jour, on se dit qu'il faudra bien sortir de la léthargie, du repli sur soi, de l'ennui qui n'a pas de nom mais qui est bien réel. Oui, il faudra... Pas si difficile que ça, sans doute. Laisser la main (la tête) faire ce qu'elle a à faire, l'aider à le faire le mieux possible. Seule issue pour sortir de la déréliction. Ou, plus simplement, de la paresse. On laisse traîner les choses, on ne s'y remet pas. Il y a le nécessaire, l'incontournable. Et le reste, qu'il est si facile d'éviter. Gare à l'ankylose.
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