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24/04/2014

Printemps (suite)

Tant de splendeurs, ça ne peut pas durer ! Arbres de Judée, lilas blancs ou violets, glycines et seringas odorants... Ces beautés vont bientôt s'éteindre, relayées un moment par les rosiers encore en boutons. Le printemps est éphémère, et le sachant, les contemplatifs que nous sommes n'en sont que plus sensibles à ses couleurs. Se réjouir des changements spectaculaires de la nature est d'une grande banalité. Mais on ne se lasse pas de ce que la nature trop souvent capricieuse nous donne à voir. Nous offre. Il faut savoir apprécier la générosité quand elle est là.

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