Noël, décidément !

Noël arrive, là, tout près. Avec ses excès, ses bonheurs, ses gourmandises.On fera une bûche pour que les enfants lèchent le saladier, des garapignes, des truffes, des fruits déguisés. Il y aura des papiers déchirés sur le parquet, des bougies, des invités, des remerciements, des déceptions peut-être. Il faudra rentrer dans la nuit froide. On dira, quel dommage, pas de neige cette année. Ensuite tout ranger, nettoyer. Ce n'était que ça, Noël : des semaines d'attente pour les enfants, beaucoup de temps consacré à la recherche des cadeaux, des heures dans la cuisine (le meilleur de la fête est là, dans la cuisine), des bulles dans les verres. Et puis c'est fini. Encore quelques épisodes supplémentaires dans les familles recomposées, mais ce n'est pas tout à fait pareil. Allez, on souffle les bougies (oh ! rallume, disent les enfants), on fait la vaisselle, on balaie. Quoi, déjà passé, Noël ?

Humeur, encore

On ne peut échapper à ça, les horreurs faites aux femmes un peu partout dans le monde. Comment des hommes peuvent en arriver à ces actes quasi inconcevables ? Tant de douleurs, et notre impuissance. Une bonne partie de l'humanité à la dérive, sans ancrages. Entreprises de destructions massives. Les femmes, toujours premières victimes.

Humeur

Les marronniers sont au mieux de leur forme (d'hiver, tout de même !) : chocolats, chapons, saumons, huîtres... Tout les jours on nous serine les méfaits de l'industrie agro-alimentaire et ses dérapages incontrôlables. Les crevettes de Malaisie, pouah !, le saumon de Norvège, alourdi de multiples métaux..., l'huile de palme dans le chocolat,  le chapon émasculé etc... etc... Sans doute. Mais on peut aussi décider de faire maigre, pourquoi pas ! et choisir le contenu de nos assiettes. Déjà bien quand elles sont garnies, non ? Alors, les marronniers, au placard !

Humeur

Lire un livre mal traduit est pénible. À quoi reconnaît-on une traduction défectueuse ? À des formes syntaxiques hasardeuses, à des mots manifestement inappropriés, à l'absence de fluidité. Tout est un peu chaotique. Ça agace. La qualité de la lecture s'en ressent. Négligence étonnante des éditeurs, contre laquelle on reste sans recours.